Si vous avez la chance de parcourir 60 millions de consommateurs édition de Juillet/Août 2007, vous trouverez un dossier intéressant sur les boissons gazeuses Light.
L’aspartame au coeur du light
D’abord on apprend que pour le Coca version light, le sucre est remplacé par l’aspartame… et l’aspartame est apparemment sujet à polémique.
« Ainsi, en 1996, l’aspartame a été cité comme responsable possible de tumeurs au cerveau aux Etats-Unis. D’autres études ont suggéré un lien avec le déclenchement de crises d’épilepsie. Plus récemment encore, un institut scientifique italien a ravivé les craintes d’un éventuel effect cancérogène. »
. Pour l’instant, les organismes officiels ne remettent pas en cause la sécurité de l’aspartame.
Des traces de benzène préocuppantes
Concernant les boissons style Orangina et assimilés, il y a des traces significatives de benzène.
Le benzène est un produit de l’industrie pétrochimique utilisé pour la fabrication de matières plastiques. Il se retrouve dans l’air avec, comme principale source les vapeurs d’essences automobiles… mais aussi le tabagisme, produits de bricolage, de construction, de décoration, etc… […] Mais alors que l’absorption est de 50% avec l’air inspiré, elle serait complète par voie digestive.
Pas de panique… Les niveaux de benzène trouvés représentent un impact négligeable dans l’exposition de la population. Mais à surveiller de près.
Notre conclusion
Notre conclusion après lecture du dossier est quitte à acheter du coca ou de l’orangina, éviter de prendre du light (bon déja on n’aimait pas le goût) et surtout se retourner plutôt vers les grandes marques. Dans le dossier, on note que de nombreuses sous-marques de distributeurs discount ou pas ont de très mauvais résultats.
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– L’aspartame sur Wikipédia
– Le benzène sur Wikipédia