Biopolymère PLA, vêtements coton…. ou comment cautionner les OGM?
Dans le cadre de notre travail chez Tout allant vert, nous avons mené une enquête sur le biopolymère PLA et avons découvert notamment comment cet agro-matériau peut cautionner la culture OGM.
Alors produits à base de PLA, vraiment écologique? L’est-elle du fait que cela est une alternative moins consommatrice de pétrole?. Le débat est ouvert.
De nombreux produits apparaissent sur le marché: gobelets PLA, fournitures de bureau PLA dites biodégradables et compostables (industriellement uniquement), stylo biodégradables en PLA, clés USB en PLA… Achetez en connaissance de cause.
Lire l’article ici: Biopolymère PLA, coton…ou comment cautionner les OGM sans le savoir?
Complément d’informations par rapport à l’article original: La réflexion peut être étendu au monde du textile… avec le coton traditionnel.
On peut se poser la même question avec le coton OGM et les vêtements textile que nous achetons! surtout si le coton utilisé provient d’Inde, de Chine, États-Unis, Australie. Plus d’infos sur Wikipédia.
Selon Wikipédia,
Le coton génétiquement modifié représentait en 2006 le quart des surfaces cultivées dans le monde et vraisemblablement le tiers de la production mondiale. Les cotons OGM sont aujourd’hui produits par la plupart des grands pays producteurs : Chine, États-Unis, Australie et Inde. Le Brésil l’a autorisé en 2006. En Afrique, à l’exception de la République Sud-africaine, aucun pays ne produit aujourd’hui (2006) de coton à partir de variétés génétiquement modifiées. Seul le Burkina Faso dispose aujourd’hui d’une législation autorisant la mise en place d’essais de coton génétiquement modifié en milieu contrôlé. Pour la troisième année consécutive, l’INRA, Institut national de recherche agronomique burkinabé, va conduire des essais avec les principales firmes détentrices des techniques de transgénèse (Syngenta, Dow Elanco et Monsanto). D’autres pays, notamment le Mali, sont en voie de finaliser les textes permettant la mise en place d’essais.
En Inde les surfaces cultivées de coton transgénique Bt (résistant au lépidoptères ravageurs) représentent plus des deux tiers des surfaces cultivées en coton soit plus de 6 million d’hectares.